YOUGOSLAVIE - Actualité (1990-1996)

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République fédérale de Yougoslavie

Politique intérieure

Les faits mentionnés concernent la république socialiste fédérative de Yougoslavie jusqu’à son éclatement, puis la république fédérale de Yougoslavie qui est réduite à la Serbie et au Monténégro .

Le 8 avril 1990 se déroulent les élections dans la république de Slovénie: victoire de la coalition d’opposition non communiste Demos.

Le 18 avril, le pouvoir fédéral lève l’état d’urgence au Kosovo et libère 108 prisonniers politiques.

Le 22 avril, en Slovénie, Milan Ku face="EU Caron" カan, communiste réformateur, est élu président.

Les 6 et 7 mai a lieu le second tour des élections législatives en Croatie: succès du parti d’opposition, l’Union démocratique croate (H.D.Z.), mené par Franjo Tudjman.

Le 15 mai, Borisav Jovi が (Serbe) succède à Janez Drnov face="EU Caron" ジek (Slovène) à la présidence de la fédération.

Le 26 mai, la Ligue des communistes de Yougoslavie, clôturant son congrès commencé en janvier mais interrompu par le départ des délégués slovènes, croates et macédoniens, se prononce en faveur du multipartisme.

Le 2 juillet, le Parlement du Kosovo adopte une «Constitution du Kosovo» établissant l’égalité de la province avec les 6 autres républiques de la fédération et donnant aux Albanais le statut de peuple-nation au lieu de celui de minorité ethnique. Le 5, le Parlement serbe décide la dissolution du Parlement du Kosovo et la révocation du gouvernement de la province.

Le 2 décembre, second tour des élections législatives en Bosnie-Herzégovine: très large victoire des partis nationalistes sur les communistes. Le 9, élections législatives au Monténégro: le Parti communiste reste au pouvoir. Les 9 et 23, élections en Serbie: victoire du Parti socialiste (ex-communiste) de Slobodan Milo face="EU Caron" ジevi が.

Le 21 décembre, la Croatie se dote d’une nouvelle Constitution, prévoyant la possibilité de faire sécession.

Le 9 mars 1991, 60 000 personnes manifestent à Belgrade à l’appel des partis d’opposition serbes pour dénoncer la mainmise communiste sur les médias. La répression est très dure. Le 12, Slobodan Milo face="EU Caron" ジevi が révoque les responsables de la télévision et libère Vuk Draskovi が, chef de l’opposition serbe. Le 15, le Serbe Borisav Jovi が annonce sa démission de la présidence de la direction collégiale de la fédération.

Le 1er avril, la région croate de la Krajina, essentiellement peuplée de Serbes, annonce son rattachement à la Serbie. Elle avait déjà proclamé son autonomie en décembre 1990.

Le 2 mai, nouvel affrontement sanglant entre Serbes et Croates, en Croatie. Le 4, la présidence collégiale yougoslave décide l’envoi de l’armée fédérale en Croatie.

Le 15 mai, la Serbie s’oppose à l’élection du Croate Stipe Mesi が à la présidence collégiale fédérale. Il sera accepté en juin après une médiation de la C.E.E.

Le 6 juin, les présidents des 6 républiques se réunissent à Sarajevo pour essayer de trouver un compromis entre les tenants du maintien de la fédération actuelle, menés par la Serbie, et les partisans d’une confédération de républiques souveraines, souhaitée par la Croatie et la Slovénie. Le 25, la Slovénie et la Croatie proclament officiellement «leur souveraineté et leur indépendance». Le 28, de violents affrontements opposent les troupes fédérales et slovènes le long de la frontière autrichienne. Le 18 juillet, après les négociations de Brioni, la présidence fédérale annonce le retrait de ses troupes de Slovénie dans les 3 mois.

Le 16 août, de violents combats opposent Serbes et Croates dans l’est de la Croatie. Les Serbes de Slavonie, largement minoritaires dans cette région, proclament leur autonomie. Le 18, le président yougoslave accuse l’armée fédérale de soutenir les autonomistes serbes. Des milliers de réfugiés fuient les zones dangereuses.

Le 12 septembre, le général Veljko Kadijevi が, ministre fédéral de la Défense, rejette l’ultimatum lancé par Stipe Mesi が, demandant à l’armée fédérale d’évacuer la Croatie. L’avancée des forces serbes, appuyées par l’armée fédérale, se poursuit.

Le 15 septembre, proclamation de la république de Macédoine, après un référendum le 8.

Le 8 octobre, la Slovénie et la Croatie confirment leur accession à l’indépendance.

Le 19 novembre, les troupes fédérales s’emparent de Vukovar, en Slavonie, assiégée depuis 3 mois.

Les 11 et 12 janvier 1992, les Albanais de souche vivant en Macédoine se prononcent à 99 p. 100, par référendum, en faveur de leur autonomie.

Le 29 février et le 1er mars se déroulent des référendums sur l’indépendance en Bosnie-Herzégovine et au Monténégro. Au Monténégro, fidèle allié de la Serbie, 66 p. 100 des électeurs se prononcent pour le maintien de la république dans un État fédéral yougoslave. En Bosnie-Herzégovine, où le référendum est boycotté par la minorité serbe qui réclame son rattachement à la Serbie, 63 p. 100 des électeurs approuvent le projet d’indépendance.

Le 7 avril, les députés serbes au Parlement de Sarajevo proclament l’indépendance de la «république serbe de Bosnie-Herzégovine», créée en janvier.

Le 24 mai, les habitants du Kosovo élisent leur Parlement et leur «président», Ibrahim Rugova.

Le 15 juin, le Parlement fédéral, désigné le 30 mai, élit au poste de premier président de la nouvelle Yougoslavie, réduite à la Serbie et au Monténégro, l’écrivain serbe Dobrica Cosi が, inspirateur de la politique nationaliste du président Milo face="EU Caron" ジevi が. Le 28, près de 150 000 opposants du Mouvement démocratique manifestent contre le régime du président Milo face="EU Caron" ジevi が, réclamant son départ et l’arrêt des combats.

Le 2 juillet, Milan Pani が, homme d’affaires américain d’origine serbe, est nommé Premier ministre de la Fédération yougoslave. Il présente un programme de gouvernement très peu nationaliste, prônant notamment l’arrêt des combats et la constitution d’une société multinationale et multiconfessionnelle.

Le 20 décembre, Slobodan Milo face="EU Caron" ジevi が remporte l’élection présidentielle serbe pour laquelle il était principalement opposé à Milan Pani が. Les élections législatives sont marquées par le recul du Parti socialiste au profit du Parti radical (extrême droite nationaliste) de Vojslav Seselj. Le 29, la coalition des élus socialistes et nationalistes renverse le gouvernement de Milan Pani が et nomme Radoje Konti が à sa place.

Le 1er juin 1993, le président Dobrica Cosi が est limogé par le Parlement de la «nouvelle Yougoslavie». Zoran Lili が le remplace le 25.

Le 1er juin également, Vuk Draskovi が, chef du Mouvement du renouveau serbe, est arrêté. Il entame une grève de la faim le 1er juillet. Les 5 et 6, Danielle Mitterrand, présidente de l’association France Libertés, se rend à Belgrade afin de plaider la cause des opposants emprisonnés. Le 9, le président Milo face="EU Caron" ジevi が fait libérer les époux Draskovi が.

Le 19 décembre, en Serbie, le Parti socialiste de Slobodan Milo face="EU Caron" ジevi が remporte les élections législatives marquées par une surenchère nationaliste et de nombreuses irrégularités.

Le 28 décembre 1994, Borba , le dernier quotidien indépendant du pays, est mis en liquidation judiciaire. En novembre, sa parution avait été interdite et Belgrade avait nommé à sa tête le ministre de l’Information. Une édition clandestine continue à être diffusée.

Le 3 novembre 1996, la coalition au pouvoir dominée par le Parti socialiste du président serbe Slobodan Milo face="EU Caron" ジevi が obtient la majorité absolue au Parlement à l’issue des élections législatives, avec 84 sièges sur 138. La coalition de l’opposition obtient 22 élus, le Parti radical serbe 16 et le Parti populaire du Monténégro 8.

Le 17 novembre, en revanche, lors des élections municipales, le pouvoir perd la plupart des grandes villes du pays, dont Belgrade, au profit de l’opposition. Le 24, la commission électorale invalide les résultats dans la capitale ainsi que dans 13 autres villes conquises par l’opposition. Le chef du Mouvement du renouveau serbe, Vuk Draskovi が, soutenu par les deux autres dirigeants de l’opposition, Zoran Djindji が et Vesna Pesi が , appelle à une «révolte populaire générale». À partir du 25, des dizaines de milliers de manifestants, auxquels se joignent les étudiants en grève, se réunissent quotidiennement dans les rues de Belgrade. L’Union européenne et les États-Unis font pression sur Slobodan Milo face="EU Caron" ジevi が pour qu’il reconnaisse les résultats des élections municipales.

Le 27 décembre, une commission de l’O.S.C.E., dirigée sur place par l’ancien président du gouvernement espagnol Felipe González, confirme la victoire de l’opposition dans quatorze grandes villes du pays. Le pouvoir alterne promesses et menaces.

Vie économique

En 1990, les premiers résultats du programme de stabilisation adopté en décembre 1989 motivent un satisfecit du F.M.I., ouvrant la voie à d’autres concours internationaux. Le 9 août, le Parlement met fin à l’autogestion au profit de l’économie de marché.

En 1993, les sanctions imposées par l’O.N.U. à Belgrade occasionnent des pertes évaluées à 20 millions de dollars. Le P.I.B. recule d’environ 30 p. 100. Le taux d’inflation atteint des sommets vertigineux. La production agricole s’est toutefois maintenue et la situation énergétique également. L’aide fournie par la Serbie aux Serbes de Bosnie est évaluée entre 20 et 40 p. 100 du P.I.B. En juillet, on estime qu’entre 60 et 70 p. 100 de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté.

En 1994, l’allègement des sanctions internationales et la réussite du programme de stabilisation mis en place en janvier entraînent une amélioration de la situation économique. La croissance reprend et l’inflation disparaît quasiment. L’introduction d’un «super-dinar» valant 1 deutsche Mark participe au regain de confiance enregistré.

En 1995, les limites des mesures adoptées en 1994 se font sentir. La détérioration de la situation s’accompagne d’une nouvelle chute du niveau de vie. La moitié de la population active au chômage alimente une économie parallèle qui contribue pour moitié au P.I.B. La levée des sanctions ne suffit pas à relancer l’économie.

En 1996, la Serbie s’enfonce dans la crise provoquée par le refus de Belgrade d’engager les réformes économiques indispensables, tandis que le Monténégro tire les premiers profits du processus de libéralisation de l’économie lancé par les autorités de Podgorica. Le délabrement de l’appareil industriel et la faiblesse des exportations expliquent l’absence de croissance et l’augmentation du déficit commercial. L’abandon de la politique monétaire restrictive que menait le gouverneur libéral de la banque centrale, Dragoslav Avramovi が, limogé en mai, entraîne une forte inflation. Cette situation décourage les investisseurs étrangers. Par ailleurs, Belgrade ne rétablit pas ses relations avec le F.M.I. Ce climat dégradé favorise la croissance de la contestation sociale.

Relations internationales

Le 5 mai 1991, les États-Unis suspendent leur aide économique à la Yougoslavie, estimant que les droits de l’homme n’y sont plus respectés.

Le 5 juillet, la C.E.E. décide de geler l’aide à la Yougoslavie et d’instaurer un embargo sur les armes.

Le 7 juillet, à Brioni, en présence de la «troïka» européenne (les ministres des Affaires étrangères du Luxembourg, d’Italie, des Pays-Bas), les négociations entre Serbes, Slovènes, Croates et autorités fédérales aboutissent à un cessez-le-feu et à la suspension des déclarations d’indépendance.

Le 7 septembre, la conférence prévue par le plan de paix de la C.E.E. se réunit à La Haye: les dirigeants serbes et croates refusent toute concession. Le 25, le Conseil de sécurité de l’O.N.U. décrète l’embargo sur les livraisons d’armes.

Le 18 octobre, à la conférence de La Haye, les Européens obtiennent le dixième accord de cessez-le-feu, ainsi que le consentement de 5 des 6 républiques sur le remodelage de la fédération. La Serbie le refuse, et le cessez-le-feu n’est pas plus respecté que les précédents.

Le 2 décembre, la C.E.E. annule en faveur des républiques sécessionnistes les sanctions économiques adoptées le 8 novembre à l’encontre de la Yougoslavie. La Serbie demeure la seule, avec le Monténégro, à être touchée.

Le 23 décembre, l’Allemagne reconnaît la Croatie et la Slovénie.

Le 1er janvier 1992, Cyrus Vance obtient l’accord de la Serbie et de la Croatie sur le plan de paix de l’O.N.U. Celui-ci prévoit le retrait de l’armée fédérale de Croatie et l’envoi de casques bleus en Slavonie et dans la Krajina. Milan Babi が, président de la république autoproclamée de la Krajina, le rejette. Le 14, les premiers casques bleus arrivent en Yougoslavie.

Le 15 janvier, la C.E.E. reconnaît l’indépendance de la Slovénie et de la Croatie, après des mois de tergiversations.

Le 6 avril, les ministres des Affaires étrangères de la C.E.E. décident de lever les sanctions contre la Serbie et de reconnaître la république de Bosnie-Herzégovine. Le 7, les États-Unis reconnaissent la Bosnie-Herzégovine, la Slovénie et la Croatie.

Le 15 mai, le Conseil de sécurité de l’O.N.U. exige l’arrêt des combats en Bosnie-Herzégovine, mais évite de désigner les Serbes comme les seuls agresseurs. Le 30, le Conseil de sécurité de l’O.N.U. adopte une résolution prévoyant un embargo commercial, pétrolier et aérien, contre la Fédération yougoslave. Seule l’aide alimentaire et humanitaire est maintenue. Les Douze avaient adopté des mesures analogues le 27.

Le 8 juin, le Conseil de sécurité de l’O.N.U. décide de protéger l’aéroport de Sarajevo, afin de permettre l’accès de l’aide humanitaire à la capitale bosniaque.

Le 22 février 1993, le Conseil de sécurité adopte une résolution créant un tribunal pénal international chargé de juger les responsables de crimes de guerre commis dans l’ex-Yougoslavie depuis juin 1991.

Le 18 avril, le Conseil de sécurité de l’O.N.U. aggrave les sanctions économiques contre Belgrade.

En janvier 1994, les chefs de la Forpronu et la France critiquent la politique de l’O.N.U., en particulier à propos de la question des frappes aériennes contre les Serbes.

À la suite de tirs d’artillerie dirigés contre Sarajevo les 4 et 5 février, des frappes aériennes contre les positions serbes sont envisagées pour la première fois, à l’instigation de la France. Le 9, l’O.T.A.N. somme les Serbes de Bosnie de retirer leur armement lourd dans un rayon de 20 km autour de Sarajevo avant le 21 sous peine de frappes aériennes. Le 17, les Russes étant intervenus diplomatiquement, les Serbes de Bosnie acceptent le retrait de leurs armes lourdes. Le 28, au centre de la Bosnie, 2 avions de l’O.T.A.N. abattent 4 appareils serbes qui violaient la zone d’exclusion.

Le 7 mars, en vertu d’un accord conclu la veille, la Forpronu prend le contrôle de l’aéroport de Tuzla – enclave musulmane assiégée par les forces serbes dans le nord-est de la Bosnie – pour permettre de ravitailler la population.

Le 30 mars, Serbes et Croates signent, sous l’égide de la Russie, un accord de cessez-le-feu en Krajina, les armes lourdes devant passer sous le contrôle de la Forpronu.

En avril, les actions de l’O.T.A.N. (frappes aériennes, ultimatum) empêchent l’enclave musulmane de Gora face="EU Caron" ゼde de tomber aux mains des Serbes bosniaques, qui doivent respecter les mêmes dispositions que celles qui leur ont été imposées à Sarajevo.

Le 3 août, devant le refus des Serbes de Bosnie du plan de paix présenté par le «groupe de contact» le 5 juillet, le président de la Serbie Slobodan Milo face="EU Caron" ジevi が annonce la rupture de ses relations avec la «république de Pale».

Le 14 septembre, le gouvernement de la république fédérale de Yougoslavie accepte le déploiement de 135 observateurs civils le long de la frontière entre la Serbie et la Macédoine d’une part et la Bosnie de l’autre.

Le 23 septembre, l’O.N.U. décide d’alléger les sanctions économiques imposées en mai 1992 à la Yougoslavie. Le 5 octobre, la réouverture de l’aéroport de Belgrade met fin à 28 mois d’isolement diplomatique.

Le 30 août 1995, les Serbes de Bosnie, affaiblis et divisés après les défaites qu’ils ont subies à Biha が et à Sarajevo, chargent le président serbe Slobodan Milo face="EU Caron" ジevi が de les représenter aux négociations de paix.

Le 21 novembre, les présidents bosniaque Alija Izetbegovi が, croate Franjo Tudjman et serbe Slobodan Milo face="EU Caron" ジevi が paraphent l’accord de paix sur l’ex-Yougoslavie à Dayton, aux États-Unis. Le texte sera signé à Paris le 14 décembre. Il prévoit le maintien d’un État bosniaque unitaire composé de 2 entités. Une force multinationale de 60 000 hommes doit veiller à l’application de l’accord.

Le 22 novembre, l’O.N.U. vote la levée des sanctions internationales imposées en mai 1992 à la république fédérale de Yougoslavie.

Le 23 août 1996, la Yougoslavie et la Croatie normalisent leurs relations, rompues à la suite de la proclamation unilatérale de l’indépendance de la Croatie et du début du conflit yougoslave, en 1991. Belgrade et Zagreb concluent un accord de reconnaissance mutuelle qui prévoit l’établissement de relations diplomatiques.

Le 1er octobre, le Conseil de sécurité de l’O.N.U. adopte à l’unanimité la résolution 1074 qui prévoit la levée des sanctions internationales imposées en mai 1992 à la Serbie et au Monténégro – réunis au sein de la république fédérale de Yougoslavie – et qui avaient été suspendues en novembre 1995.

Encyclopédie Universelle. 2012.

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